www.montoulouse.fr

Déjeuner au Mirail ? non, ce n'est pas dangereux et en plus c'est beau...

Association TO7 –

TOULOUSE OUVERTURE

4 ^bis, cheminement CAMBERT

Métro station REYNERIE

31100 Toulouse

Tél. : 05.61.44.27.74

Mel : [email protected]

Vous invite le

Jeudi 25 octobre 2007

à 12h00

(Réserver avant mercredi midi par Tél ou par mail SVP)

Un repas débat avec Sylvie MONTEL

Une Caravane

« Ensemble pour l’égalité et la citoyenneté »

Une caravane de femmes lutte contre l’intégrisme religieux au Maroc depuis 2001. Elle a été rejointe par des femmes venues d’Algérie, de Tunisie et de France.

En 2004, la caravane est venue dans l’agglomération lyonnaise, Saint Etienne et Grenoble.

En 2006, l’expérience s’est renouvelée à Paris, Strasbourg, Montreuil, La Courneuve et Dijon.

En 2008 la caravane des femmes est attendue à Toulouse.

Après la projection du film présentant l’engagement de ces femmes, TO7 vous propose un repas débat autour de la constitution de comités locaux pour accueillir la caravane au Mirail. 

N’oubliez pas de vous inscrire à TO7 pour nous permettre de faire les courses !

+ voir article sur le site www.tomirail.net

rubrique « Actualités » puis « Agenda ».

Le vélo est une fête...

Association Vélo

http://toulouse.fubicy.org

Tel : 05 34 30 94 18

Les balades nocturnes à vélo fêtent la Coupe

du Monde de Rugby

Grande balade nocturne le vendredi 28 septembre 2007,

20h30, à la veille du dernier match au Stadium !

Si les All Blacks souhaitent se détendre les jambes à la veille de leur match contre la Roumanie, samedi après-midi au Stadium, rendez-vous leur est donné le vendredi 28 septembre à 20h30 sur le parvis de la Basilique Saint Sernin. C’est de là que partira la désormais traditionnelle balade nocturne à vélo mensuelle, organisée par l’Association Vélo Toulouse le dernier vendredi de chaque mois.

Cette balade s’inscrit au coeur des manifestations qui entourent l’évènement sportif de l’année dans un esprit d’écocitoyenneté, à l’exemple du guide de l’écosupporter promu par le capitaine de l’équipe de France, Raphaël Ibanez, et distribué au départ de la balade.

Les organisateurs proposent ainsi, à tous les amoureux du rugby et du vélo, une balade d’1h30 environ qui les conduira vers les hauts lieux du rugby toulousain et de cette coupe du monde : du Stade des Sept Denier au Stadium, en finissant à la Prairie des Filtres où a été installé le village de la Coupe du Monde, le cortège profitera aussi des incroyables éclairages proposés par la Ville pour le Printemps de Septembre.

Pour plus d'informations, contacter :

Sarah Guibert, mél. : [email protected] tél. : 06 84 68 72 63

L’Association Vélo a pour but de développer et d’améliorer la pratique du vélo en agglomération. Depuis 25 ans,

ses actions visent à promouvoir les équipements susceptibles de rendre plus sûrs et plus facile les déplacements

urbains à vélo. Elle intervient auprès des pouvoirs publics et des collectivités pour que soit pris en compte ce

moyen de transport utilisé quotidiennement par de nombreuses personnes et que soit mis en place un véritable

réseau de pistes cyclables. Elle mène pour cela des actions de sensibilisation et d’information et propose des

solutions aux problèmes de circulation. L’Association Vélo adhère à la FUBicy (fédération française des usagers

de la bicyclette, organisme national) et diffuse quatre fois par an un journal d’information.

Film + Débat : une bonne soirée en perspective

La médecine et la ville :

entre dialogue(s), déshérence et renouveau

Cinéma ABC

(13, rue Saint Bernard 31000 Toulouse)

Mercredi 28 mars 2007

20h30 - Projection du film La consultation

21h40 Conférence-débat

Invités :

Pr  Jean-Paul ESCANDE  et

Dr Catherine LEMORTON (pharmacienne)

Un film pour ouvrir le débat...

Critique

"La Consultation" : échographie sociale des "malades de vivre" du docteur Perino

LE MONDE | 20.03.07 | 18h23  •  Mis à jour le 20.03.07 | 18h48

Le procédé n'est pas nouveau : on a vu déjà le documentariste américain Frederick Wiseman planter sa caméra dans les salles stratégiques du Metropolitan Hospital de New York (Hospital, 1970), et la cinéaste française Claire Simon suivre les visites d'un toubib de province s'apprêtant à prendre sa retraite (Les Patients, 1989). Cette fois, c'est dans le cabinet d'un médecin généraliste lyonnais qu'Hélène de Crécy est venue observer la visite des malades, écouter des dialogues cliniques.

Drôle de huis clos, donc, que le cabinet de Luc Perino, puisqu'un oeil incongru et des oreilles indiscrètes enregistrent un face-à-face censé rester confidentiel. Même acceptée par les patients, cette intrusion ne peut pas être sans incidences sur la conversation. Dans le cas de ce couple dont la femme souffre de maux psychosomatiques, le silence gêné de l'époux s'explique sans doute par une réticence à commenter des problèmes conjugaux en place publique.

VOLER UN PEU DE SON INTIMITÉ

Dans celui de cette bourgeoise venue renouveler son ordonnance, le dispositif accentue une propension à la mondanité, la femme saluant l'objectif en entrant et consultant sa liste de médicaments comme elle le ferait pour des commissions, avec une aisance qu'elle est visiblement fière de montrer. Et que dire de cette visite à domicile chez une vieille dame qu'une hernie contraint à l'hospitalisation immédiate ? A-t-elle conscience de se faire voler un peu de son intimité ?

La mort, la naissance, des douleurs, des angoisses, des transactions : chacun y va de son petit malheur ou de son drame, offrant un panel de cas qui se traduisent par des saynètes. En Knock paternaliste, le docteur Perino commente cette échographie sociale, distribuant blagues ou remontrances, analysant ensuite son rôle d'éducateur civique, sa difficulté à faire prendre conscience de la cause du mal, son désarroi.

Pragmatique et bon enfant, il se conduit même parfois en mariole, lorsqu'il explique à une jeune femme vissée par un torticolis comment se confectionner une minerve en roulant Le Progrès de Lyon avec un linge.

Un rien répressif, il houspille une jeune mère qui a refusé d'allaiter son bébé, malmène une jeune fille atteinte de bronchite en refusant de lui prescrire des remèdes forcément "toxiques" : "Pilule + tabac ! ne cherchez pas !" Sermonnant une jeune Asiatique qui désire avorter, il la fait pleurer. Il faut, pour consulter le docteur Perino, aimer les cours de morale !

En fait, autant que le tragique de cette Maghrébine désemparée d'avoir un fils schizophrène, de cette salariée réclamant un long congé de maladie indu, de ce type qui boit dès qu'il rentre au logis conjugal, de cette retraitée déprimée de se retrouver dans une résidence, c'est le cas du docteur Perino qui mérite un diagnostic. "La médecine est le cul de l'entonnoir de tous les problèmes sociaux", dit-il. Il est, en face de gens essentiellement "malades de vivre", dépassé, démuni, impuissant. L'essentiel lui échappe, les névroses, les problèmes de boulot, de rapports familiaux. Ausculter les corps ne sert pas à grand-chose, car il lui faudrait soigner les âmes. Ce dont il convient avec charisme.  Jean-Luc Douin Article paru dans l'édition du 21.03.07

La Consultation...

Avant de débattre avec le Professeur ESCANDE et le docteur LEMORTON, vous pouvez assister à la projection du film "la Consultation"

  Dans le huis clos du cabinet de Luc Perino, médecin généraliste, les consultations se succèdent. Parce qu'on a souvent "plus besoin d'un médecin que de médecine", chacun vient déposer ses douleurs, ses joies, ses angoisses et ses demandes...
En filmant ce face à face médecin/patient, la réalisatrice montre ce qu'il y a de profondément humain dans chacune de ces consultations et dresse le portrait sensible d'une société fragile, drôle et pleine de contradictions.

La médecine et la ville :

entre dialogue(s), déshérence et renouveau

Cinéma ABC

(13, rue Saint Bernard 31000 Toulouse)

Mercredi 28 mars 2007

20h30 - Projection du film La consultation

21h40 Conférence-débat

Invités : Pr  Jean-Paul ESCANDE  et  Dr Catherine LEMORTON (pharmacienne)

CRITIQUE DU FILM - Voilà un film qui parle de maladie mais fait un bien fou. Un an après Ils ne mouraient pas tous mais tous étaient frappés, c’est la même impression qui domine : celle d’une œuvre fondée sur l’écoute. L’écoute de quoi ? Des souffrances de gens comme vous et moi, et plus largement des maux – au sens propre – d’une société de plus en plus sous pression, déboussolée, au bord de la panique. La documentariste Hélène de Crécy s’est glissée dans le cabinet d’un médecin généraliste de la région lyonnaise, Luc Perino, et a filmé ses consultations. Idée toute simple mais qui libère ici une parole inespérée.

Un jeune couple qui vient pour une IVG – elle, Asiatique enceinte, parle l’anglais, lui, traduit tendrement ; un alcoolique jovial qui lutte tant bien que mal avec ses démons ; une femme et ses bouffées d’angoisse ; un vieux monsieur et ses problèmes de prostate ; une accro des médocs qui « vient faire son marché » ; une mère et son nourrisson constipé… Autant de cas particuliers, plus ou moins graves, plus ou moins psychosomatiques, que le médecin traite du mieux qu’il peut, livrant son diagnostic tout en s’efforçant de le faire accepter par son patient. Tâche de philanthrope.

Entre ses consultations, Luc Perino livre parfois son point de vue, sur l’évolution de son métier (plutôt vers le moins bien), sa responsabilité morale. Lui aussi se sent coincé, parfois insatisfait, pris dans des contradictions, acculé à prescrire à la pelle des antidépresseurs ou des arrêts maladie à des personnes surtout malades de leur travail. « La médecine, c’est le cul de l’entonnoir de tous les problèmes sociaux », lance-t-il, gardant malgré tout une saine et généreuse détermination.

Le film regarde en face les patients comme le médecin, ausculte, ne recule pas devant l’impudeur ou l’agonie. Il montre ce dont tout le monde parle mais qu’on ne voit plus, ou bien mal, à la télé, sous une forme criarde, spectaculaire. Ce dispositif n’est pas exempt, lui non plus, d’artifices, mais ceux-là tirent les gens vers le haut. Il y a bien dans ce petit théâtre de la douleur au quotidien quelque chose de crucial sinon de vital.

Jacques Morice - Télérama n° 2984 - 24 Mars 2007

Inspiration espagnole...

Conférence-Diaporama proposée par le CAUE 31 et L'AERA avec le concours l'Ecole Nationale Supérieure d'Architecture de Toulouse avec le soutien du Ministère de la Culture (DRAC) , de la Région Midi-Pyrénées et de la Ville de Toulouse

Salle du Sénéchal  17, rue de Rémusat   -31000 Toulouse-  entrée libre

MARDI 23 mai 2006, à 20H30

Elias TORRES       architecte

"Equipements publics"

Elias Torres Tur, architecte espagnol, est né en 1944 à Ibiza. 

Diplômé en 1968 de l'Escola Técnica Superior de Arquitectura de Barcelone (ETSAB), Elias Torres ouvre la même année son agence avec José Antonio Martínez Lapeña à Barcelone (agence Martínez Lapeña-Torres Achitectes, S.L). Parmi leurs projets, les plus connus sont le complexe de logement de Vila Olímpica (Barcelone), le Granja escalator (Tolède), la restauration de la Ronda Promenade (Palma de Mallorque), la restauration du Parc Güell (Barcelone) de Gaudi, l'Esplanade du Forum 2004 et la centrale photovoltaïque (Barcelone), ainsi que plusieurs travaux au Japon comprenant l'annexe du musée de Kumamoto.

Les projets et les travaux achevés de "Martínez Lapeña-Torres Arquitectos" sont largement diffusés et édités dans de nombreux catalogues et monographies. Elias Torres a été professeur honoraire à l'université de Harvard et est actuellement professeur de doctorat à l'ETSAB.

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Centre Méridional de l'Architecture et de la Ville
5 rue Saint Pantaléon
31000 Toulouse  -  France

Tél. : +33 (0)5 61 21 61 19              Fax : +33 (0)5 61 21 90 53
E-mail : [email protected]       Site : http://cmav.free.fr

Emeutes dans les banlieues : prenez la parole...

Conférences avec Véronique Legoaziou et Laurent Mucchielli,

auteurs de "QUAND LES BANLIEUES BRULENT" (la découverte).

Conférence

choisissez votre thème...

Quelle place pour la JUSTICE ?

Faculté de droit,

Manufacture des tabacs,

Amphi Guy Isaac

mercredi 17 mai à 18h00

Banlieue, ville :

dialogue(s) impossible(s) ?

Université du Mirail

Amphi n° 5

Jeudi 18 mai 2006 à 15h00

Les politiques ont ils compris les émeutes dans les banlieues ?

Institut d'Etudes Politiques - Amphi Jean Jaurès (2bis rue des Puits Creusés)

Vendredi 19 mai 2006 à 15h00

Débats avec les habitants

des "quartiers sensibles",

choisissez votre lieu

Jeudi 18 mai 2006 de 12h. à 14h.

Repas-débat TO7 - MIRAIL - 4bis cheminement Cambert

Vendredi 19 mai de 20h. à 22h

Discussion-débat à la salle bleue d'EMPALOT

Si l'ACT a invité Laurent Mucchielli et Véronique Le Goaziou, c'est parce que leur livre montre que les solutions simplistes sont un leurre. Echec du tout répressif qui nie la détresse sociale et ignore les discriminations. Echec de la « politique de la ville » qui s'apparente à des gadgets clinquants et médiatiques, dont le plus visible consiste à raser des tours de béton sans tenir compte de l'attachement des habitants aux lieux, et surtout sans prévoir une reconstruction immédiate.  Echec aussi de notre société qui se berce d'illusions, qui se nourrit de mythes et qui ne veut pas voir les humiliations dont souffrent les habitants des quartiers sensibles « échec scolaire, absence de travail, sentiment d'être des citoyens de seconde zone, presque des parias » (p. 23). Une fois ce constat posé, il reste à inventer des solutions. Complexes, forcément complexes, comme notre monde en transformation. Ces solutions,  il nous revient à nous, les citoyens de les proposer, de les porter afin de rendre, à tous, le goût de l'avenir.

Après le pétrole ?

Xavier

Gil nous propose une note de lecture..... il a lu, visiblement avec beaucoup d'intérêt, le dernier ouvrage d'A. Grandjean et JM Jancovici.

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"Le plein, s'il vous plaît"  d'A. Grandjean et JM Jancovici (Editions du Seuil, 18 Euros)

Cet ouvrage de 186 pages a pour ambition de résoudre le problème de l'Énergie et lance un débat indispensable pour échapper à la récession économique brutale qui se profile, agrémentée au passage d'un changement climatique majeur.

Au cours d'un exposé clair et chiffré, les auteurs font le constat, pas suffisamment partagé, que notre mode de développement industriel repose sur une énergie abondante, trop bon marché (voir la courbe des prix p.130), en voie rapide d'épuisement et, de plus, génératrice d'un effet de serre qui pourrait s'avérer fatal à bon nombre d'espèces vivantes (espérons que quelques bactéries en réchapperaient).

Pour sortir de ce mauvais pas, nous ne devrons pas trop compter sur la bonne volonté des citoyens consommateurs (les autres), ni sur le courage politique de nos élus (nous y sommes pour beaucoup), ni sur les miracles de la technique (qui pourra intervenir efficacement dans un contexte déjà régulé) et surtout pas sur les capacités d'anticipation du "marché" (il est très myope).

La solution ne peut donc être que l'augmentation progressive, mais immédiate, des taxes sur les énergie fossiles (et logiquement sur les autres : on relèvera une petite ambiguïté à ce sujet) mise en place par l'État qui renforcera ainsi ses capacités d'intervention pour organiser la régulation "douce" et nous éviter la régulation climatico-économique brutale et son long cortège de funestes conséquences.

A lire et à faire lire d'urgence !

                  

Xavier

GIL

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Notre "salut" passe t-il pas la croissance ?.

Lundi 15 mai 20h45

Salle de réception du stade de Balma

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Si ce sujet vous inspire, vous pouvez envoyer une contribution qui sera répercutée aux habitués du Café Politique et placée sur le site : http://lecafepolitique.online.fr

- La salle de réception du stade de Balma se trouve derrière les tribunes du stade au premier étage. Le stade est près de la sortie de

la rocade N

°16 (Balma / Soupetard) au premier Rond point en direction de Balma. Il y a un grand parking à l'entrée du stade. Avenue des Aérostiers Balma France

- Pour des renseignements ou pour donner l'adresse d'amis qui veulent suivre nos activités écrire à : [email protected] ou téléphoner au  05 61 24 44 59

- Si vous souhaitez ne plus recevoir de courrier du Café Politique, un petit mot en réponse suffira

François Saint Pierre

Exposition au CMAV

Mémoires et Territoires

Du 25 mars au 29 avril 2006

Exposition présentée par les Photons Libres au Centre Méridional de l'Architecture et de la Ville

Clôture et remise du prix du public Photon Libre 2006 jeudi 27 avril à 18h30

::: mémoire :::

souvenir du passé, faculté de se souvenir et de conserver ce qui est passé,
souvenir laissé à la postérité, action de se souvenir

::: territoire :::

étendue de terre, pays délimité par des caractéristiques définies

mémoires et territoires, ou la relation toujours subjective entre l’espace et le temps

Photographier fige déjà l’évènement -lieu et temps- dans un passé révolu, que nous sommes libres d’évoquer au gré de notre imaginaire, de notre poésie.
Photographier c’est offrir une mémoire à un évènement. Lui donner vie alors même qu’il fait partie du passé. Sans mémoire, le passé perd toute certitude d’avoir même existé.

La mémoire reconstruit le passé pour rassurer le présent, pour donner un espoir à l’avenir.

Quel est donc cet acte quasi profane qui fait revivre –à notre guise qui plus est- un évènement passé ?

Quel est donc cet acte subversif de re-création ?

Sous la présidence de Philippe Guionie, un jury, composé de professionnels de l'image, a sélectionné 4 photographes. Ont primé :  l’originalité, l’harmonie et la cohérence du travail. Le photographe a un parti pris à la fois esthétique et engagé, qu’il justifie et qui se justifie de lui-même par son homogénéité, sa clarté, sa visibilité. Dans ce sens, le choix des images présentées ainsi que la prégnance d’un regard sensible et affirmé sont des éléments qui influenceront le jury dans ses choix.

le jury réuni le 11 février 2006 a retenu parmi 102 dossiers présentés les travaux de
Miri Chae — Marie Docher — Sophie Le Béon — Laetitia Tura
pour être exposés aux CMAV

Un prix du public sera décerné à l’occasion de la clôture de l’exposition. Ce prix, intitulé Prix du Public Photon Libre 2006, d’un montant de 500 euros, est offert par la Caisse d’Epargne. Il est décerné au photographe exposant ayant eu le plus de voix lors de l’exposition.

Centre Méridional de l'Architecture et de la Ville
5 rue Saint Pantaléon
31000 Toulouse  -  France
Centre d'exposition ouvert de 13h à 19h du lundi au samedi - entrée libre

Tél. : +33 (0)5 61 23 30 49             Fax : +33 (0)5 61 21 90 53
E-mail : [email protected]       Site : http://cmav.free.fr

France : terre d'accueil ?

CONFERENCE-DEBAT :

Dans le cadre des "Mardis de l'architecture et de la Ville" l'A.E.R.A et l'association "Bienvenue en France", en partenariat avec le FASILD,  vous invitent à assister à la conférence-débat :

"BIENVENUE EN FRANCE.

De l'hospitalité à l'urbanité française"

Mardi 2 mai à 18h30

au Centre Méridional  de l'Architecture et de la Ville - entrée libre –

5, rue St Pantaléon - 31000 Toulouse

Tél : 05 61 23 30 49 - Fax : 05 61 21 90 53

Email : [email protected] - Site : http://cmav.free.fr

Ce débat sera suivi, vers 20h, du vernissage de l'exposition

« Bienvenue en France" en présence d'Anne de Loisy, auteur du livre :

" Bienvenue en France ! Six mois d¹enquête clandestine dans la zone

d¹attente de Roissy ", paru en janvier 2005 aux éditions du Cherche-Midi,

EXPOSITION :

" Bienvenue en France !"

du 2 au 27 mai 2006 au CMAV

Une production présentée par l ¹Association ³Bienvenue en France !²

au  Centre Méridional de l¹Architecture et de la Ville

Avec le soutien de la fondation ³Un monde par tous ² et ³France Terre d ¹Asile ².

Demandeurs d¹asile, personnes en transit interrompu, détenteurs de faux-papiers : chaque année, 20 000 personnes sont maintenues dans les zones d¹attente des aéroports français. L¹exposition vous propose de suivre le parcours-type " escorté ", d¹un étranger, de sa descente d¹avion à sa libération ou à son réacheminement.

Dans le prolongement du livre d¹Anne de Loisy " Bienvenue en France ! Six mois d¹enquête clandestine dans la zone d¹attente de Roissy ", paru en janvier 2005 aux éditions du Cherche-Midi, l¹exposition restitue ce No Man¹s Land carcéral à travers le regard aigu de 6 photographes de presse :

Olivier Aubert / 1D-PHOTO, Olivier Coret / IN VISU, Yves Forestier / DEADLINE, Olivier Jobard / SIPA, Thomas Jouanneau, Joël Robine / AFP.

l¹exposition " Bienvenue en France ! " se veut itinérante. Elle a pour but de rendre compte des conditions de traitement des étrangers à leur arrivée en France, dans l¹intention de faire avancer le débat public et d¹améliorer ces conditions.

Les 6 photographes de presse :

-  Olivier Aubert/1D-PHOTO. Cofondateur de ce collectif de photographes indépendants, Olivier enquête depuis 15 ans sur le droit d¹asile et les communautés étrangères, l¹immigration et la traite des êtres humains.
- Olivier Coret/IN VISU. Olivier a travaillé sur la question des banlieues et les conflits irakien et afghan. Son reportage sur la construction du " mur de sécurité " entre la Cisjordanie et l¹état d¹Israël a été exposé au festival Visa pour l¹image de Perpignan en 2004.
- Olivier Jobard/SIPA PRESS. Olivier a obtenu en 2004 le prix Visa d¹or et le prix Care International du reportage humanitaire pour ses photos des réfugiés du Darfour, " le Soudan, la guerre oubliée ", et le prix Paris-Match pour  " Itinéraires clandestins ".
- Thomas Jouanneau. Ancien membre de l¹agence SYGMA, où il couvrait l¹actualité nationale et internationale, Thomas est aujourd¹hui photographe indépendant, représenté par l¹agence EDITING SERVER. Il a réalisé plusieurs reportages  sur le travail de la police.
- Joël Robine/AFP. Joël parcourt le monde pour témoigner des conflits, des famines et des exodes. Il a été exposé à Visa pour l¹image en 2002, a obtenu le prix Fuji press en 1999, le premier prix du festival du scoop d¹Angers en 1998 et le World Press en 1993.
- Yves Forestier/DEADLINE. Ancien membre de l¹agence SYGMA, Yves a réalisé pendant 15 ans des sujets news et magazine. Aujourd¹hui photographe de mode, il se penche aussi sur les questions sociales et notamment la traque des clandestins.
CENTRE MERIDIONAL DE L'ARCHITECTURE ET DE LA VILLE 

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5 rue Saint Pantaléon31000 Toulouse  -  France

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