www.montoulouse.fr

Petits mais débrouillards

Association TO7 –  TOULOUSE OUVERTURE

4 ^bis, cheminement CAMBERT

Métro station REYNERIE

31100 Toulouse

Tél. : 05.61.40.97.05

Mel : [email protected]

 

Vous invite le

Jeudi 29 novembre 2007

A 12h00

 

 (Réserver avant mercredi midi par Tél ou par mail SVP)

 

A un repas débat avec les Petits Débrouillards autour du vernissage de l’expo

 

 

Cités Débrouillardes

Atelier sténopé

Voici quatre ans que l’Association des Petits Débrouillards propose des animations scientifiques dans les quartiers du Mirail pendant les vacances d’été. Cette année, pour la seconde fois, les enfants et les adolescents ont pu s’initier au sténopé.

Le sténopé est le plus rudimentaire des appareils photo. Son objectif se réduit à un simple trou, minuscule. L’image s’imprime lentement sur un papier photo placé dans la boîte percée de ce petit trou. Baigné dans les produits chimiques du laboratoire illuminé de sa lampe rouge, le papier photo fait apparaître son image inversée.  A partir de ce négatif papier et d’une lampe de poche, on tire par contact une image positive. C’est presque de la magie !

Cette exposition présente une sélection d’images réalisées pendant l’été 2007 à

la Cité

du Parc, à

la MJC

Prévert

, à

la Scopados

et dans le quartier de Solazur à Tarbes.

 

N’oubliez pas de vous inscrire à TO7 pour nous permettre de faire les courses !

 
+ voir article sur le site www.tomirail.net

rubrique « Actualités » puis « Agenda ».

Mort de la clinique ?

Présentation de l'éditeur
Pin-pon-pin ! Pin-pon-pin ! Pin-pon-pin ! " Poussez-vous ! Laissez passer ! Vite ! Il faut lui faire une I.R.M. en urgence ! " Quel est donc cet hospitalisé si mal en point dont l'état suscite autant d'émoi ? Un grand accidenté de la route ? La victime d'une maladie foudroyante ? Vous n'y êtes pas du tout : il s'agit de la médecine ! Car dans une époque où l'on consomme toujours plus pour sa santé et son bien-être, où l'entreprise médicale, véritable pieuvre sans tête, étend chaque jour davantage son emprise sur notre société, il y a urgence ! Urgence à comprendre, si nous voulons choisir librement notre avenir. Urgence à agir avant qu'il ne soit trop tard, si nous ne voulons pas que le système entier se dévoie et fonce droit dans le mur. Sur un ton incisif, Jean-Paul Escande nous guide dans les coulisses de cet univers mystérieux. Avec lui, nous écouterons les cours de l'université de médecine, nous assisterons à un séminaire des industriels de la santé, nous participerons à l'assemblée d'une association de défense des malades, nous visiterons un musée-école de la recherche... Ce qui suscitera un certain nombre d'interrogations ! Pêle-mêle et entre autres : à l'ère d'Internet, a-t-on encore besoin des médecins ? La médecine " technicienne " est-elle humaniste ? Parler de déficit de la Sécurité sociale a-t-il un sens ? Le complexe médico-industriel a-t-il une éthique ? Quel est le prix du malheur ? L'avocat est-il le nouvel associé du médecin ? Y a-t-il aujourd'hui de vraies innovations médicales ? Peut-on décrypter les secrets du vivant ? Les réponses aux problèmes posés passent par le champ de la politique : c'est donc maintenant... ou jamais !

Biographie de l'auteur
Jean-Paul Escande est l'auteur de plusieurs essais pamphlétaires à succès : Les Médecins (1975), Médecin relève-toi ! (1998), Lettre ouverte aux technocrates qui prennent l'hôpital pour une usine (2000), Des Cobayes, des médailles, des ministres (2003). Chef de Service à Cochin et ancien président de la Commission nationale de lutte contre le dopage, connu pour ses talents de vulgarisateur et de polémiste, qui mieux que lui peut décrire les grands bouleversements actuels de la médecine ?

Apprendre pour comprendre

La prochaine conférence d'Assosciences aura lieu le

mercredi 14 mars à 18 heures 30.

Elle aura pour titre:

« Qu'est-ce qu'un gène aujourd'hui »

et sera donnée par Jérôme CAVAILLE du Laboratoire de Biologie Moléculaire des Eucaryotes de l'Université Paul Sabatier La conférence se tiendra à la

salle Antoine Osète de l'Espace Duranti,

6 rue du lieutenant colonel Pélissier,

au coin de la rue St. Antoine du T.

Nomination

Marie France Barthet, professeur d'Université, qui à étée succesivement Déléguée Régionale à la Recherche et à la Technologie, puis chargée de mission prét du Préfet et aussi du Recteur est appellée à Paris comme chargée de mission pour les poles de compétitivité à la DIACT "délegation interministerielle à l'aménagement et à la compétitivité des territoires". (ex DATAR)

Le plaidoyer pour la science d'Axel Kahn

SCIENCES. LE GÉNÉTICIEN ÉTAIT L'INVITÉ DES PREMIERS «ENTRETIENS DE LA DÉPÊCHE», HIER.

Axel Kahn, invité hier soir des premiers «Entretiens de La Dépêche du Midi», à Toulouse, ne saurait se contenter d'un plaidoyer pour la science. Car si le généticien, directeur de l'Institut Cochin, à Paris, défend bec et ongles l'impérieuse nécessité de crédits pour la recherche française, il n'a de cesse de replacer son discours dans un champ beaucoup plus vaste : celui de la philosophie. En posant notamment la question du «progrès scientifique» au cours d'une conférence-débat sur le thème «Recherche, science et société». Progrès scientifique et technique qui, au XXe siècle, a engendré le meilleur : de la maîtrise de leur corps par les femmes à la conquête de l'espace. Mais aussi le pire, d'Auschwitz aux effets de serre en passant par Hiroshima.

Raison pour laquelle, aujourd'hui, quand on parle science au citoyen lambda, «il demande à voir. A voir, à l'aune des plantes transgéniques, de la vache folle, de l'amiante, du sang contaminé, si la science est le seul garant du bonheur». Et Kahn de répondre: «Le but de la science, c'est de connaître, pas de faire le bonheur de l'humanité.»

A cela, les Français adhèrent, d'ailleurs, au point que la recherche jouisse d'une cote de sympathie hors normes. Qu'est-ce qui a donc pu, dans ces conditions, pousser les chercheurs à déroger à leurs traditions pour se mettre en grève, en 2004 ? «La recherche ne dispose pas des moyens de ses ambitions», voilà tout. «Les gens qui nous gouvernent ne comprennent rien à la recherche, à l'innovation et au développement», martèle Kahn. De fait, financer la recherche fondamentale ne rapporte rien en terme de nombre d'électeurs ou de retombées économiques. En revanche, sans crédits pour la recherche non finalisée aujourd'hui signifie pas d'application scientifique pour demain.

La Micheline de la recherche française serait donc condamnée à voir passer le train à grande vitesse de la recherche étrangère ? Axel Kahn ne s'y résout pas. L'absence de moyens pour la science, pour l'accession aux savoirs et à sa transmission, a-t-il dit lors d'un riche échange avec le public, cela signifie la fin du libre arbitre et de la démocratie.

J.-L. D.-C.

La totalité de ces premiers «Entretiens» est visible dès aujourd'hui sur www.ladepeche.com.

Rencontre avec un grand savant

"Venez discuter avec Axel Kahn

Le célèbre généticien,sera l'invité de La

Dépêche du Midi dans le cadre des

"Entretiens de La Dépêche,

le mardi 28 novembre à 18 heures,

salle du Sénéchal, rue de Rémusat à Toulouse.

Il nous livrera ses réflexions autour des thèmes de la recherche, la science et la société, au moment même où le projet du Cancéropôle place Toulouse et sa région à la pointe de la scène scientifique. L'intervention du professeur sera suivie par un débat avec l'assistance. Les places sont limitées.

Inscription auprès du secrétariat de la rédaction (Laurence Canil) au 05.62.11.33.53 ou par mail [email protected]

Pour connaître Axel KAHN, lire l'interview qu'il a donné en 2003

Pourquoi avoir choisi de faire médecine monsieur Kahn ?

Nous étions quatre hommes dans la famille : mon père, philosophe hégélien, et mes frères, Jean-François qui avait choisi l'histoire et qui est devenu le journaliste que vous savez (Marianne), Olivier qui avait opté pour les sciences dures et qui est devenu un chimiste mondialement connu, spécialiste de la physicochimie et notamment du magnétisme moléculaire, et moi-même, le plus jeune. Nous avions un très profond respect les uns pour les autres, gravitant autour d’un père qui nous considérait un peu comme ses élèves au sens socratique du terme. Ce très grand respect allait de pair avec une saine émulation, pour ne pas dire une absolue compétition, entre les frères et même avec le père. Si bien qu'il ne m'a pas semblé raisonnable de m'engager dans une voie déjà choisie et j’ai fait de la médecine. Je me rappelle cependant très bien que, en terminale, mon professeur d'allemand m'ayant demandé ce que je souhaitais faire, m'a dit "écoutez, vous avez la tête trop bien faite pour faire médecine".

A ce sujet, une aventure m'est arrivée très récemment au club Inserm jeunesse du lycée Henri IV que j’inaugurais. Après ma conférence, une mère d'élève, comme on peut imaginer les mères d'élèves d'Henri IV, m'a dit : "Professeur, très intéressante votre conférence. Il faut que vous me donniez des conseils. Voilà, mon premier fils est normalien, mon second est polytechnicien, et ma fille voudrait faire de la biologie. Elle hésite entre polytechnique et normale sup. Que doit-elle faire ?". Je lui ai donné des conseils, peu importe lesquels, et elle me dit alors : "Et vous, quel est votre itinéraire ? - Moi, Madame, je suis médecin. - Vous n'êtes tout de même pas "que" cela (!)"

J’ai ainsi suivi le cursus médical classique et j’ai connu toutes les réformes de ces années là. Par exemple, en 1963, PCB et première année de médecine (propédeutique) ont été regroupés avec examen A et examen B. Je suis évidemment tombé cette année-là et j'ai eu les deux examens. Cette réforme n'a cependant duré qu'un an, parce que nous avons été seulement une quinzaine à être reçus, mais cela m'a permis de gagner un an. A partir de la troisième année, j'ai cessé de suivre les cours à faculté de médecine, car il suffisait de lire les polycopiés, et j’allais seulement aux conférences d'internat. Comme tout le monde, je me concentrais sur ce concours. C’était encore le bon vieil internat classique, avec épreuve orale. Il commençait cependant à être un peu dopé par la biologie, car il y avait déjà des questions de ce domaine. Mais cela n’était pas un enseignement de haut niveau. L'internat est tout de même une école de praticiens hospitaliers et il était normal qu'il soit considéré comme tel. Le problème est que ce concours était alors à la base de toutes les carrières médicales. C'est cela surtout qui a été rééquilibré.

>>> lire la suite de l'interview

L'espace peut il encore faire réver ?

5 – 6 – 7 décembre 2006

Cité de l’Espace

Toulouse

3 thèmes développés :

Le 5 décembre sera dédié au domaine de l’Observation de la Terre

Le 6 décembre traitera du domaine des Télécommunications

Le 7 décembre sera réservé au domaine de la Navigation – Localisation

Objectif :

Faire le point sur les applications opérationnelles ou en développement et sur les perspectives associées à chaque thème.

Programme :

Chaque journée sera organisée sous forme d’une session plénière

et sera conclue par une table-ronde et/ou un orateur invité.

Le colloque sera ouvert par David ASSEMAT, Directeur-Adjoint CNES Toulouse le 5 décembre.

Journée Observation de la Terre introduite par

Pascale ULTRE-GUERARD

,

Déléguée à l’Observation de la Terre (CNES)

Journée Télécommunications introduite par

Martin MALVY

, Président de Région Midi-Pyrénées

et conclue par Pierre MOLETTE au nom du Conseil Economique et Social Régional (CESR)

Journée Navigation-Localisation introduite par Patrick BELLOUARD,

Coordinateur Interministériel du Programme Galileo

et conclue par Philippe DOUSTE-BLAZY,

Ministre des Affaires étrangères, Président du Grand-Toulouse

Le programme en détail : http://www.mediatec-dif.com/spaceappli/progfr.html

Exposition / Posters:

Parallèlement aux sessions plénières, des posters seront présentés, ainsi qu’une exposition qui permettra de découvrir plusieurs produits ou services.

Inscription :

L’inscription est possible sur 1, 2 ou l’ensemble des 3 journées.

Cliquez ci-dessous pour accéder au formulaire d’inscription

http://www.mediatec-dif.com/spaceappli/Bulletin_Inscription.doc

Site Web du colloque :

http://www.mediatec-dif.com/spaceappli/indexfr.html

Apprendre et comprendre

ASSOSCIENCES MIDI-PYRENEES

>> Le mercredi 11 octobre, 18heures30 <<<

Bruno Beral, Responsable R. et T. Structures à AIRBUS

Les Matériaux Composites ; Application aux > structures aéronautiques

Salle Antoine Osète,6 rue du Lieutenant-Colonel Pélissier (au coin de la rue Saint Antoine du T)

Même le Sénat a pris conscience du changement de civilisation qui se prépare...

DÉVELOPPEMENT DURABLE

CHANGEMENT CLIMATIQUE, TRANSITION ÉNERGÉTIQUE : DÉPASSER LA CRISE

Résumé du rapport de MM. Pierre LAFFITTE et Claude SAUNIER, Sénateurs

Principales conclusions et propositions

I – Le modèle énergétique mondial

est en alerte rouge

A – IL ACCÉLÈRE UN CHANGEMENT

CLIMATIQUE DONT LES CONSÉQUENCES

SONT TRÈS SOUS-ESTIMÉES

1. Le changement climatique s’accélère

Le Groupe d’Experts Intergouvernemental

sur l’Évolution du Climat (GIEC) situe le réchauffement

climatique dans la fourchette la

plus haute des estimations précédentes (+ 1°C

à + 5,8°C en 2100).

Il en résulte des risques :

􀁹 d ’ e m b a l l e m e n t c l i m a t i q u e

(perturbation de la photosynthèse forestière en

cas d’accroissement de la température, libération

plus rapide du CO2 contenu dans le permafrost),

􀁹 de début de dérèglements climatiques

profonds (fonte des glaces au Groenland, perturbations

accentuées du Gulf Stream).

Ces risques sont séculaires mais leurs manifestations

nous atteindront d’ici une génération.

2. A l’horizon d’une génération (vers 2025-

2030), les conséquences de ce changement

sont très sous-estimées

􀁹 Les conséquences physiques de ce

changement dépassent les seules catastrophes

naturelles.

Des phénomènes comme le retrait des glaciers

alpins, la translation de la flore de quelques

degrés Nord, le stress hydrique sur la

bordure méditerranéenne, l’arrivée d’espèces

invasives ou la création de milieux plus favorables

à des propagations virales modifieront

nos modes de vie.

􀁹 Les conséquences économiques vont

s’aggraver

Le coût du changement climatique en 2005

approche 1 % du PIB mondial (dont 200 milliards

de $ aux États-Unis).

Une étude allemande fondée sur des hypothèses

climatiques basses prévoit qu’en 2050

ce coût sera de 2 000 milliards pour les

États-Unis (soit 6 % du PIB mondial

actuel !). Or, l’hypothèse haute, très probable,

fait plus que doubler ces prévisions.

B – IL SUREXPLOITE DES RESSOURCES

ÉNERGÉTIQUES EN VOIE DE RARÉFACTION

1) En principe, les réserves énergétiques

ultimes sont estimées à plus d’un siècle,

130 ans pour le pétrole et le gaz naturel ; plus

de deux siècles pour le charbon sur la base de

la consommation actuelle.

2) Mais la demande va s’accélérer d’ici

2050 et réduire cette disponibilité

Pour télécharger le rapport :

Sources : République Française

OFFICE PARLEMENTAIRE D’ÉVALUATION DES CHOIX SCIENTIFIQUES ET TECHNOLOGIQUES

Office parlementaire - Assemblée nationale 233 bd Saint Germain 75355 Paris 07 SP - tél : 01 40 63 88 15 - fax : 01 40 63 88 08

Sénat 15 rue de Vaugirard 75291 Paris Cedex 06 - tél : 01 42 34 25 58 - fax : 01 42 34 38 55 - www.assemblee-nationale.fr - www.senat.fr

Téléchargement developpement_durable.pdf

L'avenir de l'aéronautique...

ACADEMIE NATIONALE DE L'AIR ET DE L'ESPACE
Cycle de conférences "d'Air & d'Espace"
	Comment volerons-nous demain ? M. Philippe JARRY, Senior Vice-President Stratégie Avions, Airbus Mardi 31 janvier 2006 - 17h30 - Médiathèque J. Cabanis - Toulouse Comment va-t-on voyager demain? L'avion va-t-il ressembler à ceux que nous connaissons aujourd'hui? Qu'est-ce qui le fera évoluer (concept, vitesse, confort...) : les pressions environnementales, les contraintes de coûts, la compétitivité des transports terrestres à grande vitesse? Les nouveaux besoins des passagers? Et qui sera le passager de demain : voyageur d'affaires, voyageur-loisirs ? Enfin d'où viendra l'avion de demain : d'Amérique?, d'Europe?, ou d'ailleurs? Entrée libre et gratuite (dans la limite des places disponibles) Pour plus d'informations sur ce cycle de conférences, cliquez ici
Séance publique
	Mercredi 1er février 2006 - Amphithéâtre du Sénéchal - 17, rue Rémusat - Toulouse 14h00 : "Le début de la coopération entre le service des poudres et l'ONERA sur la combustion des propergols solides" présentée par Jean DELACARTE, ancien directeur d'AIR LIQUIDE Jean-Jacques DORDAIN, directeur général de l'ESA Paul KUENTZMANN, directeur scientifique Branche Mécanique Fluides et Energétique à l'ONERA 15h45 : "Vol en Montagne - Les conquérants de l'inutile ?" présentée par Michel ZIEGLER, Pilote de ligne - Guide de haute montagne – Ancien président de compagnies aériennes (Air Alpes et Air Martinique) Pour le programme détaillé, cliquez ici Entrée libre et gratuite (dans la limite des places disponibles)
Publications
	VOLS TRES LONG-COURRIERS - Facteurs humains mis en jeu - Compte rendu du forum du 22 juin 2005 à la DGAC. Ce forum, qui faisait suite au forum de l'an précédent sur les aspects techniques, réglementaires et commerciaux des vols très long-courriers, fut particulièrement pertinent au moment où l'OACI venait d'adopter la résolution A35-19/1 déclarant que la protection de la santé des passagers et des équipages faisait partie intégrante de la sécurité des voyages aériens. [Page des Forums] - [Télécharger]
	Lettre n°47 : Le retour du Turboprop par Jean-Paul PERRAIS, ancien directeur des programmes d'avions régionaux à l'Aérospatiale, trésorier de l’ANAE [Télécharger]
Manifestations
	ÉTATS GÉNÉRAUX DE L'AVIATION GÉNÉRALE 9 et 10 mars 2006 - Aéro-Club de France - 6 rue Galilée, 75116 Paris L’aviation générale française traverse aujourd’hui une période difficile qui amène toute la communauté aéronautique à s’interroger sur son avenir. L’Aéro-Club de France, associé à l’ANAE, à l’AAAF et au GIFAS, organise une réflexion commune pour répondre à la question : “Quelle aviation générale en France pour le 21e siècle dans le contexte européen?” [Site ANAE - Aviation Légère] - [Site Aéro-Club de France] ou contacter directement l’Aéro-Club de France : Tél. 01.47.23.72.72 - Courriel : [email protected]
(c) Académie Nationale de l'Air et de l'Espace - Ancien observatoire de Jolimont - 1 avenue Camille Flammarion - 31500 Toulouse Tél. 05.34.25.03.80 - Fax : 05.61.26.37.56 - Courriel : [email protected] - Site web : www.anae.fr Pour ne plus recevoir cette lettre d'information cliquez ici