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Ouverture du Muséum d'histoire naturelle...

Comparaison de la rénovation du

Muséum d'histoire naturelle entre Lyon et Toulouse :

ambition, d’un coté et conservation, de l’autre

 

                                   

LYON	TOULOUSE
Comité de pilotage de 24 représentants des milieux culturels,   économiques et scientifiques	Le Maire de Toulouse seul en tête-à-tête avec l'adjoint à la Culture
Triple objectif :   - développement de la culture   scientifique,   - étude des enjeux contemporains de la   société,   - installation dans la ville d'un lieu   culturel majeur de niveau national et international	Réorganisation complète de son administration autour de cinq métiers   fondamentaux :   - conserver,   - exposer,   - animer,   - gérer les flux d'informations,   - administrer l'ensemble.
Ouvert sur le monde, espace de réflexion consacré aux rapports entre   les sciences et la société où les grands enjeux contemporains peuvent être   expliqués et débattus	Un grand projet de ville, un musée en métamorphose, une vision   transversale de la nature afin d'en faire une plate-forme de découverte,   d'apprentissage, de prise de conscience et de sensibilisation à l'économie   citoyenne
Un musée des sciences et des sociétés : thématique et   pluridisciplinaire, devant construire un point entre les sciences et les   enjeux sociaux	Contribuer à l'émergence d'une conscience environnementale
Un musée axé sur les publics : fidéliser les visiteurs du musée   actuel et en séduire de nouveaux	Une nouvelle approche : surprendre, émerveiller, éduquer, rendre les   collections accessibles à tous
Créer un réseau culturel et scientifique autour du musée pour en   faire un lieu de vie et de création
Un projet architectural ambitieux dans un nouveau quartier en pleine   rénovation	Un site exceptionnel dans le vieux quartier universitaire   scientifique au cœur de la ville
Hauteur   :  37m   Superficie   jardin : 24.400   m²   Surface   utile :  20.000   m²   Surface   totale (SHOB)  46.500   m²   Visiteurs   attendus par an :  500.000   Coût   des travaux : 153.000.000 €   HT	14 m   5.500 m²   6.230 m²   10.354 m2   150.000   19.800.000 € T

Bref, d'un côté l'ambition de faire de Lyon une capitale mondiale de la culture de l'autre, la volonté de conservation des collections après un grand nettoyage médiatique. Le manque d'ambition de la ville de Toulouse –son provincialisme ?- s'illustre au travers de cette simple comparaison de chiffres. Alors même que la population de la ville de Toulouse devrait dépasser celle de Lyon d’ici à 2010, Toulouse accueillera trois moins de visiteurs dans un musée trois fois plus petit, pour un investissement certes faible (19 M€ au lieu de 153 M€). Ce grand écart se retrouve dans le projet architectural. A Toulouse, le projet n’a rien d’exceptionnel, une grande baie vitrée comme cela on en trouve dans les galeries marchandes des centres commerciaux. A Lyon, le bâtiment est aussi beau qu’audacieux. Là où Lyon réinvente son musée des Sciences Naturelles, Toulouse se contente de rénover l'ancien, certes en l'agrandissant, en améliorant l'administration et en prévoyant des espaces "ludiques". DECIDEMENT, TOULOUSE PEUT MIEUX FAIRE !

L'avenir de la Grave mobilise les Toulousains...

Née à Toulouse, j'ai grandi prés du dôme de l'hopital La grave, si chers aux toulousains.

J'ai eu écho de différents projets sur ce site exceptionnel: Hotel de Luxe, conférence, projet culturel.

Je me suis donc rendu à la conférence du 13 déc à l'hotel de l'opéra. Différents architectes, des reponsables du T2P, le directeur du CHU s'étaient donné rendez-vous pour exposer les divers projets en études sur le devenir de La Grave.Vous comparez les discutions autour de ce site comme un jeu de monopolie. Oh, combien je comprends la teneur de vos propos. Lors de cette conférence, j'avais la douloureuse impression de voir des souris autour d'un trés beau fromage!

Je peux difficilement me prononcer sur les projets architecturaux, mais lorsque j'entends des rumeurs concernant la construction d'un hotel de luxe, "le con de caractère" Toulousains prends le dessus!!!

Le site de La grave est trés chers aux Toulousains. Il est endémique de par son entité sociale, historique, et sa magnificience architectuale.

De plus, Je m'étonne du peu de concertation publique sur le nouveau aménagement de ce lieu!! Je recherche donc des informations sur ces projets. Où en sont-ils? Le site de La Grave va t-il perdre son héritage historique sur l'acceuil des plus démunies dans ses belles pierres? Certes les locaux sont vétustes, mais feront-ils places à un hotel de Luxe??

En résumé, quel est véritablement devenir de ce site appartenant aux Toulousains.

En attendant vos réponses, un grand merci de pouvoir m'informer sur ce sujet.

Mayryg

Tour de passe passe...

Alors, je dis bravo !

Décidément, après l'illusionniste qui pensait avoir un destin national (Philippe Douste-Blazy), Toulouse peut se targuer d'avoir un illusionniste qui n'aura pas de destin national (Jean-Luc Moudenc).

Jean-Luc est bien le digne successeur de Philippe et le petit cousin de Nicolas.

L'important c'est la communication, peu importe le contenu. Il faut vendre.

Dernier exemple en date, la construction d'une Tour à Montaudran.

Si vous étes modernes, forcément vous étes pour ce machin vaguement futuriste, geste "fort", "courageux" et j'en passe.

Si vous étes contre, vous ètes bien, un conservateur.

Et bien moi, je ne suis ni pour ni contre bien au contraire !

Cette tour est l'arbre qui cache la forêt.

Pendant que vous allez discuter à n'en plus finir de cette tour, vous ne parlerez pas du sujet qui fâche, l'urbanisme.

Une tour toute seule ne constitue pas une politique d'urbanisme ou un plan de déplacement urbain. Elle doit s'intégrer dans un projet, un programme, une vision.

Avec cette tour, il nous refond la même erreur que pour la Médiathèque qui est venue boucher la perspective des allées Jean-Jaurès et créer un engorgement routier déplorable.

Arrêtons de prendre les Toulousain-e-s pour des idiots et proposons un plan réfléchi, pérenne et qui dépasse le simple horizon 2020.

Et puis surtout, faisons en sorte que ce ne soit pas  M. Kauffman et son ami Broad qui décide pour nous, AVANT que la décision d'attribution du marché ne soit connue.

Bref arrêtons de faire de la politique "à la toulousaine" avec beaucoup d'esbouffre, peu d'esprit, et une concertation inexistante.

Alors Pierre, au boulot, et jouons collectifs pour renverser ce jeu de quilles...

Christophe Lèguevaques

Conférence sur l'urbanisme

Conférence

L'A.E.R.A. et le C.A.U.E. 31, avec le soutien de l'ENSAT ont le plaisir de vous présenter la conférence

Yves De LAGAUSIE

urbaniste, acteur du mouvement coopératif

30 ans d’habitat coopératif

Mardi 16 octobre 2007 à 20h30

Salle du Sénéchal, 17 rue de Rémusat – Toulouse

Mail : [email protected]

Entrée libre

Avant de brûler Le Corbusier, encore faut il essayer de comprendre...

Le Corbusier :

103 maisons et

la ville de Chandigarh

20 octobre – 5 janvier

Au Centre Méridional de l'Architecture et de la Ville

5 rue Saint Pantaléon   31000 TOULOUSE - FRANCE –

Expositions présentées par l’ENSAT (Ecole Nationale Supérieure d'Architecture de Toulouse) et le CAUE31 (Conseil Architecture Urbanisme Environnement de Haute-Garonne),  avec  le soutien de l'AMO (Architecture et Maîtres d'Ouvrage)Commissariat / scénographie : Rémi Papillault, Lionel Machonin et Uyen Bui

Vidéo : Marco Tanca.

La ville de Chandigarh

De 1951 à sa mort en 1965, associé avec Pierre P Jeanneret, Maxwell Fry et Jane Drew, Le Corbusier travaille à la construction de Chandigarh, nouvelle capitale de l'Etat indien du Punjab, ville qui compte aujourd'hui un million et demi d'habitants.

Chandigarh est le seul projet de ville que Le Corbusier  a finalement réalisé, en développant une pensée urbaine cohérente, depuis la conception de quartiers  de "maisons" jusqu'  à celle des espaces monumentaux du Capitole.

L'exposition présente sous forme de panneaux, photographies et vidéo une analyse des principes et du devenir du système urbain  pensé par Le Corbusier pour Chandigarh ainsi que les différents bâtiments publics  qu'il a conçu et construit dans la ville.

Exposition  réalisée par le Séminaire Stratégies Urbaines  de l'Ecole Nationale Supérieure d'Architecture de Toulouse sous la direction de Rémi Papillault, avec le soutien de l'AMO

Invitation à un voyage dans la ville

Dans le cadre de l’exposition « Regards sur l’urbanité française », qui se tient au CMAV jusqu’au 6 octobre, et à l’occasion de la sortie de l’ouvrage « Lettres sur l’Urbanité française », l’AERA a le plaisir de vous convier à des

“Lectures croisées par les acteurs des Lettres”

Le jeudi 27 septembre à 18h30

au CMAV - 5 rue Saint Pantaléon 31000 Toulouse (M° Capitole)

Ces « LETTRES SUR L’URBANITE FRANCAISE »  réunissent des entretiens d’hommes et de femmes venus d’Afrique, d’Amérique du Nord et du Sud, d’Asie ou d’Europe centrale ou encore de Scandinavie, de cultures assez éloignées de la nôtre, pour vivre en France dans les années 1970 à 2005.

Ces témoignages de femmes et d’hommes venus des quatre coins du Monde et qui découvrent l’architecture de nos villes, nos modes de vie, notre habitat et les relations humaines qui s’y tissent, bref notre urbanité, nous révèlent ensemble le vrai visage de notre société tel que nous-mêmes ne pouvons jamais le voir.
Ces regards que nous renvoient ainsi ceux qu’habituellement nous jugeons à partir de nos valeurs, nous offrent, lorsque nous nous mettons un moment à leur place, de nous remettre à notre place. Ils nous donnent l’occasion, en corrigeant notre vieil ethnocentrisme européen, d’éclairer d’un jour nouveau la liberté, l’égalité, et la fraternité, inscrites aux fondations de notre république et aux frontispices de nos cités — ces cités qui dans leurs formes disent  tant de choses de nous-mêmes, de notre culture, de notre histoire et de notre urbanité.

Ces jugements portés sur nos formes urbaines, sur nos comportements sociaux, nous portent alors implicitement à nous poser la question de l’hospitalité de cette société à l’égard de l’autre, de l’étranger, et plus largement de toute exclusion, nous renvoyant par le jeu d’un renversement de perspective à l’absurdité profonde et appauvrissante de toute discrimination.

De même que le soleil qui tourne autour de la terre dispense à tous la même lumière, il ne saurait y avoir de raison universelle qui soit attachée à un lieu, fut-il le pays des “lumières”.

Au contraire, nous prenons ici mieux conscience de ce qu’il y a autant de raisons qu’il y a d’hommes, déterminées chaque fois par l’origine et le sens des chemins parcourus autour de notre terre commune, une pluralité de raisons croisées qui seulement nous permettra de construire un monde plus ouvert et durable, un monde plus hospitalier.

Rue Alsace : encore un effort !

Pendant les travaux, la rue Alsace était fermée aux voitures.
Un vrai bonheur.
Les enfants et les piétons pouvaient marcher librement dans cette grande artère redevenue pimpante.
On flânait, on prenait le temps.
On pouvait tester grandeur nature la réalité et le bienfait d'une grande rue piétonne qui, loin d'endormir le centre, lui donnait une seconde jeunesse, une nouvelle vitalité.

Mais il a fallu très vite déchanté.

J'ai parcouru la nouvelle rue Alsace, achevée.

Elle ne correspond pas à la promesse dessinée par les urbanistes et vendue à grand renfort de com' par la mairie.

Les trottoirs ont été élargis d'un mètre.

Certes, il existe une bande cyclable (et non pas une piste protégée) mais la nouvelle rue Alsace présente un double inconvénient majeur :

• (1) les automobiles circulent encore mais sur une voie, donc s'agglutinent, se concentrent, ralentissent et polluent toujours plus ;
• (2) l'espace gagné profite surtout ... aux camions de livraison qui peuvent certes s'arrêter sans gêner la circulation mais empiètent sur l'espace public.

Et je ne parle pas des "jardinières" aux lieu et place d'un vrai jardin square de Gaulle. Cette extension coûteuse hésite entre la mesquinerie et le ridicule.

Bref, la rue Alsace sera mieux demain... lorsqu'elle sera devenue piétonne !

Christophe Lèguevaques

Vivre en ville : regards d'ici et d'ailleurs

Exposition  :

27 JUIN - 6 OCTOBRE

Regards sur l’urbanité française

La vie urbaine en France vue par ceux qui viennent d’ailleurs

Exposition produite et présentée par l’AERA

Lieu : Centre Méridional de l'Architecture et de la Ville - Galerie principale-

Adresse : 5 rue Saint Pantaléon - 31000 Toulouse - France

Date : du 27 juin au 6 octobre 2007 

Horaires d'ouverture : de 13h à 19h du lundi au samedi, 

fermé dimanches & jours fériés.

Tél : 05 61 23 30 49     /     Fax : 05 61 21 90 53

Mail : [email protected]
Entrée libre

« Regards sur l'urbanité française » rend compte du regard d’hommes et de femmes venus d’autres continents, d’autres latitudes ou longitudes éloignées des nôtres pour vivre en France et qui découvrent nos villes françaises, nos monuments, notre habitat, notre façon de vivre ensemble.

L'exposition rassemble les témoignages  de ces immigrés de longue date, ou plus récemment arrivés en France, une série de portraits de ces personnes dans des lieux "d'urbanité" qu'elles ont choisis et des témoignages photographique sur les lieux de leurs origines, mettant ainsi en perspective les regards qu'elles portent sur leurs origines et sur la ville qu'elles habitent.

Leurs témoignages sont  autant d’impressions, d’étonnements, de sentiments ou d’appréciations portées à partir d’autres cultures, d’autres traditions, sur la forme de nos villes, sur nos constructions, sur les relations sociales ou humaines dont elles sont le théâtre, sur nos modes de vie et sur la façon que nous avons de « faire société ».

Ces « regards » de personnes issues de diverses cultures nous conduisent ainsi, par un renversement du regard, par les éclairages inattendus qu’ils jettent sur notre réalité la plus commune, à nous interroger sur notre société, sur notre habitat, sur l’harmonie sociale et politique propre à nos sociétés développées, sur la ville et nous-mêmes, et sur la façon dont nous construisons en même temps une ville et une société.

Pour ou contre l'aménagement de la rue Alscae (encore une fois, la mairie pose la question APRES avoir pris sa décision...)

Le vélo soldé rue d'Alsace Lorraine

Procession funéraire mercredi 4 juillet à 13h - L'ouverture de la ligne B du métro marque la disparition des bus rue d'Alsace Lorraine, et le réaménagement de cette voie centrale au cours de l'été. Ce réaménagement "provisoire", dont le montant des travaux avoisine les deux millions d'euros, fait la part belle aux piétons, aux places de livraisons et aux voitures, mais oublie le vélo : une seule file de circulation à contre-sens, et l'obligation de se mêler au trafic automobile dans le sens Sud-Nord. En comparaison des deux voies de bus/vélos qui existent aujourd'hui, ce projet constitue une véritable régression pour les cyclistes.

Pourtant, la communication municipale tente de faire croire l'inverse : Capitole Infos annonce "plus d'espace pour les piétons et les vélos", alors que, de l'aveu même de ses concepteurs, il sera, demain, plus difficile qu'aujourd'hui de circuler à vélo sur cet axe majeur des déplacements cyclistes !

Si nous avons pu participer à la concertation annoncée lors du lancement du projet au mois de février, celle-ci a plus ressemblé à une réunion d'information qu'à un réel débat ayant pour but de faire évoluer l'aménagement. La Mairie de Toulouse persiste dans sa conception très personnelle d'une "démocratie" participative plus informative que consultative !

La proposition de l'Association Vélo est pourtant simple : puisque la Municipalité justifie le bien-fondé de ce projet en nous annonçant une diminution spectaculaire de la circulation automobile qui sera limitée à la desserte locale, nous demandons la piétonnisation totale de la rue d'Alsace Lorraine, avec un accès riverains et livraisons, autorisant, bien entendu, la libre et complète circulation des vélos.

Afin de faire entendre ses demandes, l'Association Vélo a  organisé une action mercredi 4 juillet à 13h, au départ du croisement avec la rue de Metz. La rue d'Alsace Lorraine sera intégralement piétonne pendant trente minutes, afin d'organiser une procession funéraire au cours de laquelle sera exposée la dépouille du vélo de la honte, sacrifié, une fois encore, sur l'autel de l'automobile.

Pour plus d'informations, contacter :

Florian Jutisz, président, mél. : [email protected] , tél. : 06 67 72 57 89

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PROCHAINE REUNION DU COLLECTIF PDU

MERCREDI 19 septembre 2007 A 20 HEURES 45

maison régionale de l'environnement

1 rue de valenciennes à coté du grand rond

3 ème étage

www.collectifpdu.com

Que faire de la prison Saint Michel ?

Je souhaite répondre à l'article de montoulouse sur la prison Saint-Michel; j'en parlerai au Comité de quartier ainsi qu'à Christophe Biquet, pdt. de l'Association des riverains de la maison d'arrêt Saint-Michel et je ferai passer les réactions; la mienne - personnelle - à chaud :

- quid du Musée départemental de la résistance et de la déportation (allées Demoiselles) ?

- un accord Ministère de la justice-Mairie de Toulouse est-il envisageable ? le Ministère de la justice, qui a détruit le Palais de justice pour le reconstruire plutôt que de le rénover, aura-t-il les moyens d'une rénovation très lourde du site de la prison ? et la Mairie ?

- pour l'aile destinée au quartier, il y a un projet municipal de salle polyvalente et de bureaux pour les associations, voire de salles d'activité, au 8, rue Saint-Denis; mais c'est pour 2008, même si les travaux pour la crèche au même endroit doivent bientôt commencer; l'aile en question devrait être complémentaire - si possible en face avec passerelle possible - de l'équipement qui sera réalisé de l'autre côté de la rue Saint-Denis; enfin, il y a un fort besoin d'un centre culturel pour les habitants, mais consumérisme oblige, municipal et non associatif dans sa gestion, comme cela se fait dans bien d'autres quartiers de Toulouse (espace Croix-Baragnon...)

- le mur d'enceinte conservé "sur l'avant du site" est-il celui Grande rue Saint-Michel ? l'idée d'une ouverture du jardin côté Grande rue Saint-Michel semble pourtant intéressante pour créer une rupture dans ce axe de circulation, pour l'aérer et ainsi créer un espace de vie qui pourrait devenir une sorte de noyau de quartier

Guillaume

Merci Guillaume.

Ta réaction me permet d'illustrer ma méthode.

Je lance un débat, donne des pistes mais contrairament aux projets présentés par la ville de Toulouse, nos projets ne sont fermés. Ils peuvent évoluer, ils sont accessibles à la critique.

Je pars du principe que nous sommes plus intelligents à plusieurs.

Surtout si l'on mélange des intelligentes raisonnantes, émotionnelles, historiques, générationnelles.

Une fois ce travail d'accouchement en commun, le décideur (le maire) doit trancher en expliquant son choix, quitte à faire des mécontents, mais il est important de montrer qu'il a pris le temps (très important ça de prendre le temps mais pour cela il ne faut pas cumuler les mandats), il a écouté, il a su amender son projet (ou le refaire complétement) et puis il peut justifier sa décision et rendre des comptes.

C'est ce dialogue démocratique que j'appelle la démocratie participative.

C'est ce dialogue qui permettra de sortir Toulouse de la "gestionnite" pour nous permettre de faire oeuvre commune.

Alors, vous aussi n'hésitez pas à laisser des commentaires ou des propositions.

Christophe Lèguevaques